Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, François Biltgen, a fêté le 10 novembre 2011, dans le cadre d’une petite cérémonie ensemble avec le Centre de documentation et d’information sur l’enseignement supérieur (CEDIES), le 25e anniversaire de la "Foire de l’étudiant".
La Foire de l’étudiant a vu le jour en 1987 pour pallier au besoin de fournir aux lycéens luxembourgeois des informations concrètes sur l’enseignement supérieur international. Si au départ uniquement quelques universités de la Grande Région, quelques associations d’étudiants et quelques entreprises publiques avaient participé à la Foire de l’étudiant, elle a grandi entretemps et elle s’est professionnalisée d’année en année.
Le ministre François Biltgen a souligné que depuis les années 2000, il y a eu une augmentation constante du nombre des exposants et du nombre des nationalités représentées. Ainsi, l’édition de 2011 a réuni 202 exposants en provenance de 18 pays et a accueilli quelque 9000 visiteurs. Dans l’optique que l’enseignement supérieur doit nécessairement conduire à un métier et à un emploi, il y a eu au fil de ces années adjonction d’un hall d’exposition réservé au "monde du travail".
La Foire est en outre assortie d’un programme de conférences et d’ateliers à l’attention des lycéens. Dans ce contexte le ministre s’est félicité de la collaboration exemplaire entre les SPOS des lycées et lycées techniques d’une part et le Cedies d’autre part. En effet, ce dernier envoie à ses homologues de l’enseignement secondaire une documentation détaillée pour leur permettre d’informer les lycéens et de les préparer ainsi à la visite de la Foire.
François Biltgen a expliqué que chaque édition de la Foire est placée sous une thématique différente. L’édition de 2011 est placée sous le signe du 25e anniversaire. Les deux éditions précédentes étaient consacrées aux différents métiers et à la mobilité des étudiants.
Le ministre a conclu sur les défis à relever pour les prochaines éditions de la Foire de l’étudiant. Il a exprimé dans ce contexte notamment son souhait de pouvoir compter sur la présence d’universités et d’institutions d’enseignement supérieur moins traditionnellement fréquentées et connues des étudiants luxembourgeois.
Communiqué par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche